Les activités sont partiellement au ralenti dans le domaine du transit depuis l’annonce de l’existence de coronavirus en Guinée, fin mars 2020.
C’est le 13 mars 2020 que la sonnette d’alarme a été donnée pour la première fois, par les spécialistes de la santé de l’existence de la covid-19 en Guinée. Quelques jours après, l’Etat a décrété l’Etat d’urgence sanitaire sur toute l’étendue du territoire national. Depuis lors Les transitaires guinéens tirent le diable par la queue, faute des non accostages des grands navires important des marchandises.
Pour Abdoulaye Chérif, transitaire au port autonome de Conakry, avant cette pandémie de la covid-19 toutes les activités allaient au beau fixe, mais maintenant, elles ne sont pas totalement arrêtées mais elles sont partiellement au ralenti : « cette pandémie avant qu’elle ne soit là, les activités étaient normales, par ce que les bateaux venaient, beaucoup de choses se passaient au port ici mais dès qu’on a senti effectivement l’arrivée de cette pandémie on ne peut pas dire que le port est à l’arrêt mais il n’ y a plus d’engouement comme avant. Ces Beaucoup qui importaient des véhicules à usager, des marchandises ainsi de suite ne viennent plus, c’est seulement quelques bateaux qui assurent le service minimum, par exemple ceux qui importent des denrées alimentaires : le riz ; l’huile qui viennent » a-t-Il précisé.
Pour terminer, Abdoulaye Chérif, demande à l’Etat d’améliorer les conditions de vie de la population en ces temps de crise que traverse la Guinée : « nous demandons à l’Etat d’accepter que la population traverse ces temps de crise dans l’aisance. C’est-à-dire en en accompagnant les pauvres citoyens qui ne sortent pas de la maison à gagner à manger. Et le plus important, c’est la baisse du prix de carburant » a-t-il lancé comme appel.
Aly Camara (+224) 623503585