Il n’est un secret pour personne, l’enseignement franco-arabe est relégué au second plan. Très peu d’étudiants s’orientent dans le département langue arabe après leurs cursus secondaires. Pour inverser la tendance, l’Etat a créé un département langue et civilisations arabe le 20 Mai 1999, composé de quatre concentrations : la langue arabe, civilisation arabe, éducation et la traduction. Un abandon qui inquiète cet enseignement chargé de cour de méthodologie et de philosophie dans les universités arabe du pays point du doigt accusateur aux autorités qui ne fournissent pas assez d’efforts pour rendre les produits de cette étude plus compétitifs.
« La plupart des étudiants sortants de ce département franco-arabe dans les différentes universités se retrouvent dans l’enseignement de la langue et parfois dans les mosquées » Pour rendre cet enseignement convoité par les guinéens, Souleymane Cissé chargé de cour au département langue et civilisations arabe s’exhorte les parents d’élèves avant de reformuler de recommandations à l’endroit de L’ÉTAT. « j’invite les parents d’élèves d’inscrire les enfants dans les écoles franco-arabe, la langue n’est pas un facteur de retard, toutes les langues sont importantes même nos langues nationales, par exemple si un investisseur ou une délégation arabe vient trouver quelqu’un qui parle leurs langue, ça les encouragent a investir de plus et donner d’intérêt a ce qu’ils font chez toi puisse que la langue aussi est un moins de développement » Pour le franco-arabe soit convoiter par beaucoup de guinéens L’ÉTAT doit creer un cadre d’étude adéquate qui favorisera la bonne formation. Adopter le programme aux besoins du marché d’emploi » Selon des observateurs le contenu du programme de l’enseignement franco-arabe est en inadéquation avec le besoin du marché de l’emploi.
Mohamed Saliouboundoubory DIALLO pour lintérieur. net